Matinée Ouverte du vendredi 31 mars 2003
Echauffement :
- mise en place de l'impact (petits gestes, sans vouloir frapper la balle
trop fort)
- symétrie du geste
- laisser aller (le club doit finir le geste en fonction de l'accélération )
L'échauffement est une mise en route, on ne doit donc pas forcer pour essayer
d'envoyer la balle plus loin.
REMARQUES PERSONNALISEES :
Jeanne : notre principal problème est la
zone d'impact. Je pense que cela vient d'un manque de relâchement des bras
(par manque de confiance) au moment de l'impact. Il faut insister sur le déploiement
du bras droit dans la zone d'impact et sur le transfert du poids du corps pour
trouver ce relâchement.
Sandra : on doit augmenter la largeur de la zone d'impact. Les bras se
replient trop vite après (ou pendant) la frappe. Prendre confiance dans le
lancer, et considérer que la frappe ne s'arrête pas " à la balle".
Soline : beaucoup mieux dans l'ensemble. On commence à bien visualiser
le geste. A travailler le transfert de poids du corps et sa synchronisation avec
la descente des mains. Le fait de frapper le sol n'est pas le problème. C'est
le fait de ne pas taper au bon endroit qui est la faute. Le transfert du poids
du corps est donc le remède au problème.
Jean-paul : le transfert du poids du corps est notre principal
"combat". Le balancier symétrique n'est pas trop le souci (on arrive
bien à enchaîner les frappe l'une après l'autre). C'est donc le transfert qui
assure l'impact gauche, gage de bon contact avec la balle.
François : tendance à rester sur la jambe droite pendant l'impact. Il
faut donc traverser le balle en insistant sur le transfert de poids du corps. Le
transfert transforme le point d'impact en zone d'impact, ce qui est nécessaire
sur les longs coups.
Paul : on fait partir la balle plus basse en avançant les mains dans la
zone d'impact, ou en tournant tout le corps pendant la descente des bras. C'est
une illusion de "tourner d'un seul bloc", mais c'est d'abord un effort
de synchronisation. Attention à l'alignement, on s'aligne trop souvent à
droite, ce qui oblige à compenser l'alignement en "coupant" la
trajectoire normale du lancer.
Nell : attention quand on essaie de frapper plus fort. Cela fait déplacer
le corps au début de la descente et risque de faire rater la balle. L'accélération
se déclenche par les genoux, afin que le haut du corps ne perturbe pas le
balancier.
Anne : il faut déclencher davantage la
descente avec les genoux. C'est la raison pour laquelle on tape la balle de
temps à autre. On lève le club, on transfert le poids du corps, puis on frappe
la balle. Le finish est une
conséquence.
Heike : beaucoup mieux au niveau du balancier, mais il nous manque un peu
d'influx au moment de la frappe. C'est le poignet droit qui doit donner cet
influx (la frappe étant toujours descendante).
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