SEANCE Nº 1 : 10 janvier 2004
OBJET DU STAGE :
- préparation et obtention de la Carte Verte
- amélioration des connaissances techniques
- adaptation personnelle de ces connaissances techniques
- mise en place d'un swing plus sûr et suppression d'éventuels futurs problèmes
physiques
PRESENTATION DE LA METHODE :
Pour frapper correctement une balle de golf, il faut respecter quelques
principes de base :
- la posture de frappe est la même que la
posture de départ
- le balancier est le plus symétrique possible (le final étant une conséquence
de la vitesse et non une obligation)
- le chemin du club est le même à la
montée et à la
descente
Ce qui va donc être important, ce sont les points de passage obligatoires
du club durant le swing et non pas forcément la "manière
physique" d'exécuter le geste.
L'ELAN :
- le club se retrouve en haut de l'élan dans le prolongement de sa
position de départ. Les mains sont à l'aplomb des cervicales, comme lors
de la posture de départ.
LA DESCENTE :
- c'est le retour vers la position de départ. L'impact n'est que la
reprise de position de départ. Le problème à travailler est l'ordre des
choses (descente des mains, déploiement du bras fort, désarmement des
poignets dans la zone de
frappe)
LE FINAL :
- c'est la conséquence de la vitesse du swing, mais c'est aussi la
recherche d'une position naturelle et confortable. Si le
finish n'est pas toujours le même, cela implique que la frappe n'est
pas toujours la même. La trajectoire de la balle ne pourra donc pas être
contrôlée.
Ces bases devront être adaptées à chacun en fonction de ses ressources et
contraintes physiques (force naturelle, souplesse, problèmes de dos,
etc...). L'utilisation des hanches, des poignets, de jambes ou des épaules
lors de la frappe n'est qu'une compensation du manque de vitesse dans la
zone d'impact. C'est un meilleur contrôle de cette zone qui optimisera
l'utilisation des diverses parties du corps (souvent paramètres facteurs
d'erreurs) citées précédemment.
Pour finir, rappelons-nous bien que c'est l'image qui définit le mot
responsable du geste psycho-moteur. Tant que l'image n'est pas précise, le
mot sera difficile à trouver.
Procédures de placement :
- On prend la posture la plus adéquat en fonction du coup que l'on veut
faire. Le choix n'est pas défini par le swing lui-même, mais par l'angle
d'attaque choisi. Un angle d'attaque verticale réclamera un appui du
corps à gauche plus ou moins prononcé, tandis qu'une approche dite roulée nécessitera
moins d'appui à gauche.
- On choisit donc son impact, on vise ensuite et on dispose son corps le
plus confortablement pour exécuter ce coup.Si on ouvre le club, on place
son corps vers la gauche avant d'ouvrir, pour ne pas frapper la balle avec
le talon du club.
APPLICATION DU COURS SUR LE SWING DES LONGS COUPS :
- Conserver l'idée de dissociation entre l'élan, la frappe et le final.
- Garder la notion de "arrondir-retour en face". C'est la
vitesse du retour en face qui va amener au final
SEANCE N° 2 : 17 janvier 2004
ECHAUFFEMENT :
- Comme nous l'avons déjà dit, l'échauffement est autant "géométrique"
que physique. On doit éventuellement faire des mouvements
d'assouplissement si certains
problèmes
physiques le demandent, mais on doit surtout "préparer l'image
du geste".
- Frapper plusieurs clubs, ne pas se contenter d'un club qui aujourd'hui
démarre correctement. Sur le parcours, on aura à changer de club très
souvent. Ceci dit, nous faisons bien la différence entre le practice-leçon
et le practice-parcours. Dans le premier cas, je peux passer une heure
ou deux avec le même club car je cherche avant tout des sensations et
des images pas faciles à répéter. Dans le second cas, je dois
m'habituer à jouer tous les clubs dont j'aurai besoin sur le parcours.
C'est pourquoi la dernière balle frappée avant d'aller sur le parcours
se fait avec le club que l'on va jouer sur le premier trou.
- Définir d'abord l'impact (quand on rate, on toppe) avant l'amplitude
et la vitesse. Il est impossible (même pour un bon joueur) de frapper
une balle parfaitement dès le début avec un swing rapide et large. La
notion d'impact descendant et la notion de lancer vers l'objectif ne
sont pas forcément faciles à associer.
THEMES DU JOUR :
Nous profitons des mauvaises conditions atmosphériques (brouillard,
froid, etc...) , ou de la condition physique de chacun, pour étudier
la manière de jouer dans de telles conditions.
PROBLEMES RENCONTRES :
- Manque de sensation des mains, affaiblies par le froid. Ceci va
certainement impliquer un manque de contrôle du club.
- Perte de la sensation de pivot au niveau des épaules. Ce qui était
une conséquence auparavant devient, du fait de l'engoncement, une
obligation.
On doit donc pouvoir retrouver techniquement des moyens de
compenser ces quelques contraintes passagères. Il est en effet évident
que si la zone d'impact est parfaitement contrôlée, ces problèmes
n'en seront pas.
A TRAVAILLER :
- Le swing doit être ressenti au niveau des avant-bras et des
poignets, les épaules étant freinées dans leur rotation par l'épaisseur
des vêtements.
On ressent la même sensation que quelqu'un qui aurait de
l'embonpoint. La rotation est empêchée par le manque de souplesse.
Il faut donc adapter le geste à la morphologie. On utilisera plus
les articulations des bras (poignets, coudes) que le pouvoir de
rotation de la colonne vertébrale.
On admet donc une perte de puissance au niveau des coups, due à une
plus faible amplitude du balancier. Pour ceux ou celles qui
invoqueraient déjà un manque de puissance, le travail au niveau
des poignets et des avant-bras ne peut qu'améliorer le contrôle de
la zone d'impact. Ce ne peut donc être que mieux à longue échéance.
TRAVAIL AUTOUR DU GREEN : Etude de la position de la balle et
du club en fonction du lie
Le principe de départ est assez simple. On considère que dans la zone
d'impact, 3 éléments entrent en ligne de compte :
- un contact avec le sol
- un contact avec la balle
- la partie la plus basse du cercle (en fait du swing)
Nous mettons en évidence que ces trois points ne coïncident que sur le
tapis au practice, lorsque les pieds du joueur sont à plat.
Prenons l'exemple du putting : bas du cercle avant la balle, pas de
contact au sol et contact avec la balle. En ce qui concerne le bois sur
tee, c'est la même chose. Pour le bunker, nous admettons bien qu'il y a
contact au sol avant la balle, bas du cercle sous la balle et souvent (à
cause du sable) pas de contact avec la balle.
ANALYSE DU LIE :
Beaucoup d'herbe autour de la balle et possibilité de
"passer" sous la balle : la balle est au milieu du
stance, le club repose donc à droite de celle-ci. On écarte plus
les pieds que de coutume, afin de baisser le centre de gravité et ainsi
descendre plus bas dans l'herbe.
Beaucoup d'herbe autour de la balle et pas d'herbe en-dessous :
On ne pourra donc pas prendre le risque de passer sous la balle, ne
sachant pas comment le club va "réagir". On va donc
placer la balle de façon à ce que celle-ci soit contactée en même
temps que le club frappe le sol, donc plus à droite du stance. Même si le
club se bloque dans le sol, la balle est déjà partie.
Si la frappe dans le sol ne se fait pas parfaitement au milieu du
stance, on place son corps de façon à ce que la balle se trouve dans
la zone de frappe. On corrigera le défaut au practice avec le
professeur.
SORTIES DE ROUGH AU PETIT JEU :
On raisonne de la même façon : possibilité ou non de passer sous la
balle. C'est en posant le club dans l'herbe derrière la balle que l'on
sent ou voit s'il y a possibilité ou non de passer sous la balle.
Passage sous la balle : Balle au milieu des pieds, club a
droite, poids du corps à gauche (au lieu d'écarter les pieds). Le
geste est celui du bunker, ample et tonique.
Pas de passage sous la balle : On pose le club au milieu
des pieds de façon que la balle repose à droite de celui-ci. On
replace ensuite le club derrière la balle et on appuie son poids du
corps sur le pied gauche. Cela va verticaliser la frappe et permettre de
frapper le sol et la balle en même temps.
SEANCE N° 3 : 24 janvier 2004
- Echauffement d'abord physique (élongation, assouplissements)
- Mise en place du rythme par des petits gestes symétriques, sans trop
d'accélération au début.
- Prise de confiance dans l'impact au sol
- Accélération progressive pour "trouver" le plein swing
THEMES DU JOUR :
Correction du slice :
- le problème du slice est d'abord un problème de visualisation
de la cible. Le fait de considérer que la cible se trouve "en
face de soi" oblige à se retourner au début de la
descente, et provoque ainsi un retard des mains par rapport au
corps. Ce retard ouvre les mains et la face du club, envoyant la balle
à droite. L'effet est dû au fait que le club "coupe" la
ligne de lancer normale
- pour corriger ce slice, il convient donc tout d'abord de définir
que la cible se trouve sur la gauche (pour un droitier) du joueur. On
va donc considérer que l'on envoie la balle sur sa gauche, et non
plus en face.
- Les bras vont donc balancer plus vite que le corps ne tourne,
envoyant la balle sur la gauche du corps (donc tout droit). Il suffira
de se laisser entraîner par la vitesse pour parvenir au final
On ne pourra pas "comprendre" pourquoi la balle va à
droite, tant que l'on ne pourra pas la faire partir à gauche
volontairement.
PARCOURS :
MISE EN SITUATION SUR LE PARCOURS :
Règles de bases :
- le nombre de joueurs est limité à quatre dans la même partie. Les
ordres de priorités sont 2 joueurs, 3 joueurs, 4 joueurs et 1 joueur.
Bien que le joueur seul n'ait pas priorité, la bienséance veut que l'on
va le laisser jouer quand même.
- balle hors-limite : on doit rejouer la balle de l'endroit où elle a été
frappée, avec deux points de pénalité.
- balle dans l'obstacle d'eau : on rejoue derrière l'obstacle en cas de
piquets jaunes et sur les côtés de l'obstacle en cas de piquets rouges
(moyennant 1 point de pénalité)
- faire des coups d' essai avant
chaque balle, afin de bien visualiser chaque coup. Adapter
la posture aux pentes.
- ne pas oublier l'alignement (les épaules sont parallèles à
l'objectif)
- bien penser à dissocier les différentes parties du geste (élan,
frappe, final)
- jouer avec le vent (viser en fonction du vent, faire des balles basses
ou hautes en fonction du vent)
- autour du green, jouer la sécurité. Le geste doit être le plus symétrique
possible et le plus petit possible. On contrôlera ainsi la balle beaucoup
mieux.
- au putting,
attention à ne pas donner trop d'accélération au balancier, au risque
de perdre le contrôle de la balle. Au putting
(et la plupart du temps au petit jeu), faire attention aux pentes du
terrain. Tâcher de déterminer le meilleur point de chute pour la balle
afin qu'elle termine sa course autour du trou. Essayer de faire en sorte
de ne pas prendre plus de deux putts par green. Il faut pour cela jouer le
premier putt pour s'approcher du trou et non pas forcément pour le
rentrer. En effet, la balle passe souvent près du trou, pour finir un peu
longue. Le deuxième putt demeure donc difficile. On essaie de visualiser
autour du trou un cercle d'environ un mètre de diamètre où envoyer la
balle.
SEANCE N° 4 : 31 janvier 2004
Procédures de placement :
- On prend la posture la plus adéquat en fonction du coup que l'on veut
faire. Le choix n'est pas défini par le swing lui-même, mais par l'angle
d'attaque choisi. Un angle d'attaque verticale réclamera un appui du
corps à gauche plus ou moins prononcé, tandis qu'une approche dite roulée nécessitera
moins d'appui à gauche.
- On choisit donc son impact, on vise ensuite et on dispose son corps le
plus confortablement pour exécuter ce coup.Si on ouvre le club, on place
son corps vers la gauche avant d'ouvrir, pour ne pas frapper la balle avec
le talon du club.
- Dans
le bunker, c'est
l'appui à gauche qui définit l'impact au sol. On définit le point
d'impact sur une ligne de frappe invariablement située au milieu du
stance. La balle sera placée plus ou moins loin de cette ligne (très à
gauche = beaucoup de sable, près de la ligne = moins de sable, à droite
de la ligne = long coup). Ceci suppose bien entendu que l'amplitude et
l'intensité du coup soient toujours les mêmes
REVISION GENERALE :
PETIT JEU : avec
adaptation de la posture en fonction des pentes
- la zone de frappe du
petit
jeu est commune à tous les coups de golf, contrairement à l'élan ou
au final. De ce fait, on travaillera en priorité cette partie du swing.
- La zone de frappe est symétrique
- on va essayer au fur et à mesure de définir le même rythme de frappe.
On changera l'amplitude pour doser, mais pas la vitesse d'exécution.
- L'angle de la face du club détermine la hauteur de la balle
- je détermine le point de chute souhaité avant de choisir le club
-:la posture est plus face à l'objectif que face à la balle
- la main droite (pour les droitiers) est directrice
BUNKER :
Dans
le bunker, c'est
la posture de départ qui détermine 80% du succès du coup. L'imprécision
de l'impact est la principale faute. Reprenons donc nos bases (chemin du
club, point d'impact, posture à l'impact).
- définir que la frappe aura lieu au milieu des deux pieds
- enfoncer plus le pied avant (le gauche pour les droitiers) afin d'avoir
le poids du corps sur la jambe gauche sans déséquilibrer le corps
- laisser les bras pliés pendant l'adresse afin qu'au moment de la
frappe, le fait de les réallonger frappe le sable C'est la position de la
balle par rapport à la ligne de frappe qui va déterminer quelle longueur
parcourra la balle (balle très à gauche de la ligne = beaucoup de sable
= balle courte / balle à droite de la ligne = balle frappée avant le
sable = balle longue). L'entraînement va aider à trouver l'emplacement
idéal.
APPLICATION DU COURS SUR LE SWING DES LONGS COUPS :
- Conserver l'idée de dissociation entre l'élan, la frappe et le final.
- Garder la notion de "arrondir-retour en face". C'est la
vitesse du retour en face qui va amener au final
SEANCE N° 5 : 7 février 2004
ECHAUFFEMENT :
- Echauffement d'abord physique (élongation, assouplissements)
- Mise en place du rythme par des petits gestes symétriques, sans trop
d'accélération au début.
- Prise de confiance dans l'impact au sol
- Accélération progressive pour "trouver" le plein swing
Mise en place de l'élan et rôle des genoux dans la descente
L'élan :
- Le plus important, outre que
le
final soit l'équivalent de
la
montée, est que le club soit positionné correctement en haut de l'élan.
- On lève le club de façon à ce qu'il se retrouve en haut de l'élan
dans le prolongement de sa position de départ. C'est la précision de
cette position (différente sur tous les clubs) qui va définir la qualité
de la descente.
- Les mains se retrouve à l'aplomb des épaules. La ligne qui passe par
les mains et les cervicales est dirigée vers l'objectif.
La descente :
- On commence
la descente
en redescendant d'abord les mains afin de ne pas changer de plan.
- Quand on atteint la mi-descente (position semblable à celle de la
mi-montée), le bras droit se déplie le plus vite possible. Au moment
d'arriver sur la balle, ce sont les pouces et index de la main droite qui
prennent le relais pour donner encore plus de vitesse à la tête du club.
- C'est à ce moment que les genoux tiennent un rôle primordial dans la
logique articulaire du swing. Ce sont eux qui vont permettre au corps de
se retourner sans perturber la zone de frappe. Ils favorisent également
le transfert du poids du corps.
Mise en situation sur le parcours compact :
- Vérifier son alignement sur les coups de départ, les départs n'étant
pas forcément dirigés vers le drapeau. On peut aussi s'aligner dans une
autre direction pour des raisons stratégiques.
- Le choix du club sur le premier coup est un choix personnel. Il dépend
des options stratégiques (prise de risque, coup assuré).
- Au
petit jeu, préparer
soigneusement son coup. On doit être sûr de ce que l'on va faire quand
on décide de frapper la balle "pour de vrai". On étudie
d'abord le lie, puis le dosage.
SEANCE 6 : 14 février 2004 Révision générale et conseils divers
POSTURE PETIT JEU :
- club plus court, stance moins large, on se rapproche de la balle
- main en avant, poids du corps à gauche, pied gauche ouvert (pour les
droitiers) Cette posture va nous permettre de mieux lancer la balle vers
l'objectif (position pétanque) La main droite (pour les droitiers) est la
main directrice.
On définit d'abord le point de chute de la balle, et en fonction de cela on
choisit le club adéquat. C"est le fait de changer de club (angle
ouvert ou angle fermé) qui détermine le dosage du coup.
Procédures de placement :
- On prend la posture la plus adéquat en fonction du coup que l'on veut
faire. Le choix n'est pas défini par le swing lui-même, mais par l'angle
d'attaque choisi. Un angle d'attaque verticale réclamera un appui du
corps à gauche plus ou moins prononcé, tandis qu'une approche dite roulée nécessitera
moins d'appui à gauche.
- On choisit donc son impact, on vise ensuite et on dispose son corps le
plus confortablement pour exécuter ce coup. Si on ouvre le club, on place
son corps vers la gauche avant d'ouvrir, pour ne pas frapper la balle avec
le talon du club.
- Dans
le bunker, c'est
l'appui à gauche qui définit l'impact au sol. On définit le point
d'impact sur une ligne de frappe invariablement située au milieu du
stance. La balle sera placée plus ou moins loin de cette ligne (très à
gauche = beaucoup de sable, près de la ligne = moins de sable, à droite
de la ligne = long coup). Ceci suppose bien entendu que l'amplitude et
l'intensité du coup soient toujours les mêmes
- Balancier symétrique
- C'est l'amplitude qui donne le dosage. On distingue deux méthodes de
mise en place du dosage. La première consiste à garder le même
écartement de pied et à varier l'amplitude du balancier de part et
d'autre des pieds (pour un long putt) ou sans dépasser cet écartement
(pour un putt court). On balance toujours à la même vitesse. Dans la
seconde méthode, on varie l'écartement des pieds en fonction de la
longueur du putt pour s'aider à décrire le balancier idéal. Il faut
s'entraîner pour trouver la méthode qui convient le mieux.
- On travaille dans le "cercle". Envoyer d'abord la balle autour
du trou pour assurer le second putt. Le but du jeu est d'acquérir à plus
ou moins brève échéance une sûreté de jeu qui permettent d'assurer
une moyenne de deux putts par green.
- Penser au "break-point" ou "brake-point" (point de
rupture de trajectoire et de "freinage" de course). Nous avons
bien expliqué que ce point était en quelque sorte une illusion
d'optique, dans le sens où la trajectoire s'incurve (et ne se casse donc
pas). Il est quand même très important de visualiser ce point (qui
dépend de votre lecture du green, ainsi que de votre frappe de balle plus
ou moins puissante).
Nous définirons prochainement une date pour
organiser notre Examen de Carte Verte.
ENTRAINEZ-VOUS BIEN ET A BIENTOT !!!