STAGE  CARTE VERTE 10 JANVIER  2004

Cladie, Géraldine, Martine, Christophe, David et Pascal

 

SEANCE Nº 1 : 10 janvier  2004

OBJET DU STAGE :
- préparation et obtention de la Carte Verte
- amélioration des connaissances techniques
- adaptation personnelle de ces connaissances techniques
- mise en place d'un swing plus sûr et suppression d'éventuels futurs problèmes physiques

PRESENTATION DE LA METHODE :
Pour frapper correctement une balle de golf, il faut respecter quelques principes de base :
- la posture de frappe est la même que la posture de départ
- le balancier est le plus symétrique possible (le final étant une conséquence de la vitesse et non une obligation)
- le chemin du club est le même à la montée et à la descente

Ce qui va donc être important, ce sont les points de passage obligatoires du club durant le swing et non pas forcément la "manière physique" d'exécuter le geste.
 
L'ELAN :
- le club se retrouve en haut de l'élan dans le prolongement de sa position de départ. Les mains sont à l'aplomb des cervicales, comme lors de la posture de départ.
LA DESCENTE :
- c'est le retour vers la position de départ. L'impact n'est que la reprise de position de départ. Le problème à travailler est l'ordre des choses (descente des mains, déploiement du bras fort, désarmement des poignets dans la zone de frappe)
LE FINAL :
- c'est la conséquence de la vitesse du swing, mais c'est aussi la recherche d'une position naturelle et confortable. Si le finish n'est pas toujours le même, cela implique que la frappe n'est pas toujours la même. La trajectoire de la balle ne pourra donc pas être contrôlée.

Ces bases devront être adaptées à chacun en fonction de ses ressources et contraintes physiques (force naturelle, souplesse, problèmes de dos, etc...). L'utilisation des hanches, des poignets, de jambes ou des épaules lors de la frappe n'est qu'une compensation du manque de vitesse dans la zone d'impact. C'est un meilleur contrôle de cette zone qui optimisera l'utilisation des diverses parties du corps (souvent paramètres facteurs d'erreurs) citées précédemment.
Pour finir, rappelons-nous bien que c'est l'image qui définit le mot responsable du geste psycho-moteur. Tant que l'image n'est pas précise, le mot sera difficile à trouver.

TRAVAIL DU PETIT JEU :
 
Procédures de placement :
- On prend la posture la plus adéquat en fonction du coup que l'on veut faire. Le choix n'est pas défini par le swing lui-même, mais par l'angle d'attaque choisi. Un angle d'attaque verticale réclamera un appui du corps à gauche plus ou moins prononcé, tandis qu'une approche dite roulée nécessitera moins d'appui à gauche.
- On choisit donc son impact, on vise ensuite et on dispose son corps le plus confortablement pour exécuter ce coup.Si on ouvre le club, on place son corps vers la gauche avant d'ouvrir, pour ne pas frapper la balle avec le talon du club.

APPLICATION DU COURS SUR LE SWING DES LONGS COUPS :

- Conserver l'idée de dissociation entre l'élan, la frappe et le final.
- Garder la notion de "arrondir-retour en face". C'est la vitesse du retour en face qui va amener au final

 

SEANCE N° 2 : 17 janvier 2004

 

ECHAUFFEMENT :
- Comme nous l'avons déjà dit, l'échauffement est autant "géométrique" que physique. On doit éventuellement faire des mouvements d'assouplissement si certains problèmes physiques le demandent, mais on doit surtout "préparer l'image du geste".
- Frapper plusieurs clubs, ne pas se contenter d'un club qui aujourd'hui démarre correctement. Sur le parcours, on aura à changer de club très souvent. Ceci dit, nous faisons bien la différence entre le practice-leçon et le practice-parcours. Dans le premier cas, je peux passer une heure ou deux avec le même club car je cherche avant tout des sensations et des images pas faciles à répéter. Dans le second cas, je dois m'habituer à jouer tous les clubs dont j'aurai besoin sur le parcours. C'est pourquoi la dernière balle frappée avant d'aller sur le parcours se fait avec le club que l'on va jouer sur le premier trou.
- Définir d'abord l'impact (quand on rate, on toppe) avant l'amplitude et la vitesse. Il est impossible (même pour un bon joueur) de frapper une balle parfaitement dès le début avec un swing rapide et large. La notion d'impact descendant et la notion de lancer vers l'objectif ne sont pas forcément faciles à associer.


THEMES DU JOUR :

Nous profitons des mauvaises conditions atmosphériques (brouillard, froid, etc...) , ou de la condition physique de chacun, pour étudier la manière de jouer dans de telles conditions.
 
PROBLEMES RENCONTRES :
- Manque de sensation des mains, affaiblies par le froid. Ceci va certainement impliquer un manque de contrôle du club.
- Perte de la sensation de pivot au niveau des épaules. Ce qui était une conséquence auparavant devient, du fait de l'engoncement, une obligation.

On doit donc pouvoir retrouver techniquement des moyens de compenser ces quelques contraintes passagères. Il est en effet évident que si la zone d'impact est parfaitement contrôlée, ces problèmes n'en seront pas.

 
A TRAVAILLER :
- Le swing doit être ressenti au niveau des avant-bras et des poignets, les épaules étant freinées dans leur rotation par l'épaisseur des vêtements.
On ressent la même sensation que quelqu'un qui aurait de l'embonpoint. La rotation est empêchée par le manque de souplesse. Il faut donc adapter le geste à la morphologie. On utilisera plus les articulations des bras (poignets, coudes) que le pouvoir de rotation de la colonne vertébrale.
On admet donc une perte de puissance au niveau des coups, due à une plus faible amplitude du balancier. Pour ceux ou celles qui invoqueraient déjà un manque de puissance, le travail au niveau des poignets et des avant-bras ne peut qu'améliorer le contrôle de la zone d'impact. Ce ne peut donc être que mieux à longue échéance.

 

TRAVAIL  AUTOUR DU GREEN : Etude de la position de la balle et du club en fonction du lie
 
Le principe de départ est assez simple. On considère que dans la zone d'impact, 3 éléments entrent en ligne de compte :
- un contact avec le sol
- un contact avec la balle
- la partie la plus basse du cercle (en fait du swing)
Nous mettons en évidence que ces trois points ne coïncident que sur le tapis au practice, lorsque les pieds du joueur sont à plat.
Prenons l'exemple du putting : bas du cercle avant la balle, pas de contact au sol et contact avec la balle. En ce qui concerne le bois sur tee, c'est la même chose. Pour le bunker, nous admettons bien qu'il y a contact au sol avant la balle, bas du cercle sous la balle et souvent (à cause du sable) pas de contact avec la balle.
ANALYSE DU LIE :
Beaucoup d'herbe autour de la balle et possibilité de "passer" sous la balle : la balle est au milieu du stance, le club repose donc à droite de celle-ci. On écarte plus les pieds que de coutume, afin de baisser le centre de gravité et ainsi descendre plus bas dans l'herbe.
Beaucoup d'herbe autour de la balle et pas d'herbe en-dessous : On ne pourra donc pas prendre le risque de passer sous la balle, ne sachant pas comment le club va "réagir". On va donc placer la balle de façon à ce que celle-ci soit contactée en même temps que le club frappe le sol, donc plus à droite du stance. Même si le club se bloque dans le sol, la balle est déjà partie.
 
Si la frappe dans le sol ne se fait pas parfaitement au milieu du stance, on place son corps de façon à ce que la balle se trouve dans la zone de frappe. On corrigera le défaut au practice avec le professeur.
 
SORTIES DE ROUGH AU PETIT JEU :
On raisonne de la même façon : possibilité ou non de passer sous la balle. C'est en posant le club dans l'herbe derrière la balle que l'on sent ou voit s'il y a possibilité ou non de passer sous la balle.
Passage sous la balle : Balle au milieu des pieds, club a droite, poids du corps à gauche (au lieu d'écarter les pieds). Le geste est celui du bunker, ample et tonique.
Pas de passage sous la balle : On pose le club au milieu des pieds de façon que la balle repose à droite de celui-ci. On replace ensuite le club derrière la balle et on appuie son poids du corps sur le pied gauche. Cela va verticaliser la frappe et permettre de frapper le sol et la balle en même temps.

 

SEANCE N° 3 : 24 janvier 2004

 

ECHAUFFEMENT : Afin d'éviter les problèmes physiques dans le futur
- Echauffement d'abord physique (élongation, assouplissements)
- Mise en place du rythme par des petits gestes symétriques, sans trop d'accélération au début.
- Prise de confiance dans l'impact au sol
- Accélération progressive pour "trouver" le plein swing
 

THEMES DU JOUR :
Correction du slice :
- le problème du slice est d'abord un problème de visualisation de la cible. Le fait de considérer que la cible se trouve "en face de soi" oblige à se retourner au début de la descente, et provoque ainsi un retard des mains par rapport au corps. Ce retard ouvre les mains et la face du club, envoyant la balle à droite. L'effet est dû au fait que le club "coupe" la ligne  de lancer normale
- pour corriger ce slice, il convient donc tout d'abord de définir que la cible se trouve sur la gauche (pour un droitier) du joueur. On va donc considérer que l'on envoie la balle sur sa gauche, et non plus en face.
- Les bras vont donc balancer plus vite que le corps ne tourne, envoyant la balle sur la gauche du corps (donc tout droit). Il suffira de se laisser entraîner par la vitesse pour parvenir au final
On ne pourra pas "comprendre" pourquoi la balle va à droite, tant que l'on ne pourra pas la faire partir à gauche volontairement.

PARCOURS :

MISE EN SITUATION SUR LE PARCOURS :
Règles de bases :

- le nombre de joueurs est limité à quatre dans la même partie. Les ordres de priorités sont 2 joueurs, 3 joueurs, 4 joueurs et 1 joueur. Bien que le joueur seul n'ait pas priorité, la bienséance veut que l'on va le laisser jouer quand même.
- balle hors-limite : on doit rejouer la balle de l'endroit où elle a été frappée, avec deux points de pénalité.
- balle dans l'obstacle d'eau : on rejoue derrière l'obstacle en cas de piquets jaunes et sur les côtés de l'obstacle en cas de piquets rouges (moyennant 1 point de pénalité)

- faire des coups d' essai avant chaque balle, afin de bien visualiser chaque coup. Adapter la posture aux pentes.
- ne pas oublier l'alignement (les épaules sont parallèles à l'objectif)
- bien penser à dissocier les différentes parties du geste (élan, frappe, final)
- jouer avec le vent (viser en fonction du vent, faire des balles basses ou hautes en fonction du vent)
- autour du green, jouer la sécurité. Le geste doit être le plus symétrique possible et le plus petit possible. On contrôlera ainsi la balle beaucoup mieux.
- au putting, attention à ne pas donner trop d'accélération au balancier, au risque de perdre le contrôle de la balle. Au putting (et la plupart du temps au petit jeu), faire attention aux pentes du terrain. Tâcher de déterminer le meilleur point de chute pour la balle afin qu'elle termine sa course autour du trou. Essayer de faire en sorte de ne pas prendre plus de deux putts par green. Il faut pour cela jouer le premier putt pour s'approcher du trou et non pas forcément pour le rentrer. En effet, la balle passe souvent près du trou, pour finir un peu longue. Le deuxième putt demeure donc difficile. On essaie de visualiser autour du trou un cercle d'environ un mètre de diamètre où envoyer la balle.

 

SEANCE N° 4 : 31 janvier 2004

TRAVAIL DU PETIT JEU :
 
Procédures de placement :
- On prend la posture la plus adéquat en fonction du coup que l'on veut faire. Le choix n'est pas défini par le swing lui-même, mais par l'angle d'attaque choisi. Un angle d'attaque verticale réclamera un appui du corps à gauche plus ou moins prononcé, tandis qu'une approche dite roulée nécessitera moins d'appui à gauche.
- On choisit donc son impact, on vise ensuite et on dispose son corps le plus confortablement pour exécuter ce coup.Si on ouvre le club, on place son corps vers la gauche avant d'ouvrir, pour ne pas frapper la balle avec le talon du club.
- Dans le bunker, c'est l'appui à gauche qui définit l'impact au sol. On définit le point d'impact sur une ligne de frappe invariablement  située au milieu du stance. La balle sera placée plus ou moins loin de cette ligne (très à gauche = beaucoup de sable, près de la ligne = moins de sable, à droite de la ligne = long coup). Ceci suppose bien entendu que l'amplitude et l'intensité du coup soient toujours les mêmes
REVISION GENERALE :
 
PETIT JEU : avec adaptation de la posture en fonction des pentes
- la zone de frappe du petit jeu est commune à tous les coups de golf, contrairement à l'élan ou au final. De ce fait, on travaillera en priorité cette partie du swing.
- La zone de frappe est symétrique
- on va essayer au fur et à mesure de définir le même rythme de frappe. On changera l'amplitude pour doser, mais pas la vitesse d'exécution.
- L'angle de la face du club détermine la hauteur de la balle
- je détermine le point de chute souhaité avant de choisir le club
-:la posture est plus face à l'objectif que face à la balle
- la main droite (pour les droitiers) est directrice
 
BUNKER :
Dans le bunker, c'est la posture de départ qui détermine 80% du succès du coup. L'imprécision de l'impact est la principale faute. Reprenons donc nos bases (chemin du club, point d'impact, posture à l'impact).
- définir que la frappe aura lieu au milieu des deux pieds
- enfoncer plus le pied avant (le gauche pour les droitiers) afin d'avoir le poids du corps sur la jambe gauche sans déséquilibrer le corps
- laisser les bras pliés pendant l'adresse afin qu'au moment de la frappe, le fait de les réallonger frappe le sable C'est la position de la balle par rapport à la ligne de frappe qui va déterminer quelle longueur parcourra la balle (balle très à gauche de la ligne = beaucoup de sable = balle courte / balle à droite de la ligne = balle frappée avant le sable = balle longue). L'entraînement va aider à trouver l'emplacement idéal.

APPLICATION DU COURS SUR LE SWING DES LONGS COUPS :

- Conserver l'idée de dissociation entre l'élan, la frappe et le final.
- Garder la notion de "arrondir-retour en face". C'est la vitesse du retour en face qui va amener au final

 

SEANCE N° 5 : 7 février 2004

ECHAUFFEMENT : 
- Echauffement d'abord physique (élongation, assouplissements)
- Mise en place du rythme par des petits gestes symétriques, sans trop d'accélération au début.
- Prise de confiance dans l'impact au sol
- Accélération progressive pour "trouver" le plein swing
 

Mise en place de l'élan et rôle des genoux dans la descente

 
L'élan :
- Le plus important, outre que le final soit l'équivalent de la montée, est que le club soit positionné correctement en haut de l'élan.
- On lève le club de façon à ce qu'il se retrouve en haut de l'élan dans le prolongement de sa position de départ. C'est la précision de cette position (différente sur tous les clubs) qui va définir la qualité de la descente.
- Les mains se retrouve à l'aplomb des épaules. La ligne qui passe par les mains et les cervicales est dirigée vers l'objectif.
 
La descente :
- On commence la descente en  redescendant d'abord les mains afin de ne pas changer de plan.
- Quand on atteint la mi-descente (position semblable à celle de la mi-montée), le bras droit se déplie le plus vite possible. Au moment d'arriver sur la balle, ce sont les pouces et index de la main droite qui prennent le relais pour donner encore plus de vitesse à la tête du club.
- C'est à ce moment que les genoux tiennent un rôle primordial dans la logique articulaire du swing. Ce sont eux qui vont permettre au corps de se retourner sans perturber la zone de frappe. Ils favorisent également le transfert du poids du corps.

Mise en situation sur le parcours compact :

- Vérifier son alignement sur les coups de départ, les départs n'étant pas forcément dirigés vers le drapeau. On peut aussi s'aligner dans une autre direction pour des raisons stratégiques.
- Le choix du club sur le premier coup est un choix personnel. Il dépend des options stratégiques (prise de risque, coup assuré).
- Au petit jeu, préparer soigneusement son coup. On doit être sûr de ce que l'on va faire quand on décide de frapper la balle "pour de vrai". On étudie d'abord le lie, puis le dosage.

 

SEANCE 6 : 14 février 2004 Révision générale et conseils divers

POSTURE PETIT JEU :
- club plus court, stance moins large, on se rapproche de la balle
- main en avant, poids du corps à gauche, pied gauche ouvert (pour les droitiers) Cette posture va nous permettre de mieux lancer la balle vers l'objectif (position pétanque) La main droite (pour les droitiers) est la main directrice.
On définit d'abord le point de chute de la balle, et en fonction de cela on choisit le club adéquat. C"est le fait de changer de club (angle ouvert ou angle fermé) qui détermine le dosage du coup.

Procédures de placement :
- On prend la posture la plus adéquat en fonction du coup que l'on veut faire. Le choix n'est pas défini par le swing lui-même, mais par l'angle d'attaque choisi. Un angle d'attaque verticale réclamera un appui du corps à gauche plus ou moins prononcé, tandis qu'une approche dite roulée nécessitera moins d'appui à gauche.
- On choisit donc son impact, on vise ensuite et on dispose son corps le plus confortablement pour exécuter ce coup. Si on ouvre le club, on place son corps vers la gauche avant d'ouvrir, pour ne pas frapper la balle avec le talon du club.
- Dans le bunker, c'est l'appui à gauche qui définit l'impact au sol. On définit le point d'impact sur une ligne de frappe invariablement  située au milieu du stance. La balle sera placée plus ou moins loin de cette ligne (très à gauche = beaucoup de sable, près de la ligne = moins de sable, à droite de la ligne = long coup). Ceci suppose bien entendu que l'amplitude et l'intensité du coup soient toujours les mêmes

 

PUTTING :
- Balancier symétrique
- C'est l'amplitude qui donne le dosage. On distingue deux méthodes de mise en place du dosage. La première consiste à garder le même écartement de pied et à varier l'amplitude du balancier de part et d'autre des pieds (pour un long putt) ou sans dépasser cet écartement (pour un putt court). On balance toujours à la même vitesse. Dans la seconde méthode, on varie l'écartement des pieds en fonction de la longueur du putt pour s'aider à décrire le balancier idéal. Il faut s'entraîner pour trouver la méthode qui convient le mieux.
- On travaille dans le "cercle". Envoyer d'abord la balle autour du trou pour assurer le second putt. Le but du jeu est d'acquérir à plus ou moins brève échéance une sûreté de jeu qui permettent d'assurer une moyenne de deux putts par green.
- Penser au "break-point" ou "brake-point" (point de rupture de trajectoire et de "freinage" de course). Nous avons bien expliqué que ce point était en quelque sorte une illusion d'optique, dans le sens où la trajectoire s'incurve (et ne se casse donc pas). Il est quand même très important de visualiser ce point (qui dépend de votre lecture du green, ainsi que de votre frappe de balle plus ou moins puissante).

 

Nous définirons prochainement une date pour organiser notre Examen de Carte Verte.

 

ENTRAINEZ-VOUS BIEN ET A BIENTOT !!!

 

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