STAGE  DECOUVERTE DU 15 Novembre 2004

Claudine, Marine, Cyril, François, Pascal et Raymond 

 

SEANCE N° 1 : 15 novembre 2004

Mise en place des bases, étude des différents compartiments de jeu. Explication du matériel (différentes sortes de clubs)

 
LE MATERIEL :
Le sac de golf peut comporter jusqu'à 14 clubs différents de par leur taille ou l'angle de leur face. C'est l'angle qui définit la hauteur et la longueur du manche qui permet de parcourir plus ou moins de distance.
 

AUTOUR DU GREEN :

Gestion et contrôle de l'angle :
        * Il apparaît important de contrôler le chemin de la face du club et son angle pendant toute la zone de frappe. La zone de frappe est la même quelle que soit l'amplitude. L'amplitude aidera seulement à augmenter la vitesse du club et donc la distance parcourue.
        * On démarre par des petits balanciers (comme au putter), sans utiliser les poignets, pour être sûr que l'angle suffit à lever la balle. La main forte doit contrôler le club. Donc intervient la façon de poser ses mains sur le manche (le grip).
        * Au niveau du grip, il suffit de poser tout d'abord la main forte afin de trouver la bonne distance par rapport à la balle, ainsi que la sensation de tenue et de contrôle. L'autre main vient se poser naturellement en-dessous. La distance par rapport à la balle est la conséquence de cette bonne tenue ainsi que d'une bonne posture du corps.
        * La posture d'adresse doit être : penché en avant, genoux fléchis et bras ballants. Si les bras ne sont pas ballants, c'est que l'on est trop loin de la balle. On va donc souvent la topper.

LES BASES :

Le golf est un lancer associé à une frappe. Certains coups sont frappés de haut en bas, afin de lever la balle plus haut et sauter par-dessus les obstacles. D'autres coups sont plus "lancés" afin de parcourir plus de distance.
Pour frapper une balle correctement, il faut respecter quelques principes de base:
- Une posture de départ (l'adresse), un grip
- Un chemin de club, le même à la montée qu'à la descente
- Un point d'impact (et donc une posture d'impact)
 
LE SWING DU LONG COUP :
- Le geste est le plus possible symétrique
- La frappe de balle (ou posture d'impact) consiste à revenir à la position de départ
- Le final est la conséquence de la vitesse du geste
- La posture finale est : face à l'objectif, poids sur la jambe avant, club reposant sur l'épaule. Un final relâché donnera plus de vitesse à l'impact et donc plus de longueur à la balle
- La main forte frappe la balle et contrôle la direction.
 

SEANCE N° 2 : 22 novembre 2004

ECHAUFFEMENT :
- Comme nous l'avons déjà dit, l'échauffement est autant "géométrique" que physique. On doit éventuellement faire des mouvements d'assouplissement si certains problèmes physiques le demandent, mais on doit surtout "préparer l'image du geste".
- Frapper plusieurs clubs, ne pas se contenter d'un club qui aujourd'hui démarre correctement. Sur le parcours, on aura à changer de club très souvent. Ceci dit, nous faisons bien la différence entre le practice-leçon et le practice-parcours. Dans le premier cas, je peux passer une heure ou deux avec le même club car je cherche avant tout des sensations et des images pas faciles à répéter. Dans le second cas, je dois m'habituer à jouer tous les clubs dont j'aurai besoin sur le parcours. C'est pourquoi la dernière balle frappée avant d'aller sur le parcours se fait avec le club que l'on va jouer sur le premier trou.
- Définir d'abord l'impact (quand on rate, on toppe) avant l'amplitude et la vitesse. Il est impossible (même pour un bon joueur) de frapper une balle parfaitement dès le début avec un swing rapide et large. La notion d'impact descendant et la notion de lancer vers l'objectif ne sont pas forcément faciles à associer.

Au putting, on va tâcher de doser le premier putt afin que le second putt se trouve à moins de 60 centimètres du trou. On doit donc considérer le premier putt comme une approche, c'est-à-dire un coup que l'on veut rapprocher du trou sans forcément vouloir à tout prix le rentrer. C'est le moyen de prendre très souvent deux putts et donc de réduire le score.

MISE EN SITUATION SUR LE PARCOURS :

- Vérifier son alignement sur les coups de départ, les départs n'étant pas forcément dirigés vers le drapeau. On peut aussi s'aligner dans une autre direction pour des raisons stratégiques.
- Le choix du club sur le premier coup est un choix personnel. Il dépend des options stratégiques (prise de risque, coup assuré).
- Au petit jeu, préparer soigneusement son coup. On doit être sûr de ce que l'on va faire quand on décide de frapper la balle "pour de vrai". On étudie d'abord le lie, puis le dosage.
- Jouer le putting pour assurer une moyenne de 2 putts par green. Ne pas oublier les pentes.
 
N'oubliez pas que vous jouez chaque trou (dans un premier temps) pour faire 6 coups (3 au-dessus du par). Cela équivaut à parvenir sur le green en trois coups et à putter également en trois coups. C'est une méthode qui enlève tout stress, puisque le par n'est pas forcément indispensable. C'est en jouant de la sorte que vous allez souvent scorer en-dessous de 6, et donc gagner des points sur "votre" par (6).

Règles de bases :
- le nombre de joueurs est limité à quatre dans la même partie. Les ordres de priorités sont 2 joueurs, 3 joueurs, 4 joueurs et 1 joueur. Bien que le joueur seul n'ait pas priorité, la bienséance veut que l'on va le laisser jouer quand même.
- balle hors-limite : on doit rejouer la balle de l'endroit où elle a été frappée, avec deux points de pénalité.
- balle dans l'obstacle d'eau : on rejoue derrière l'obstacle en cas de piquets jaunes et sur les côtés de l'obstacle en cas de piquets rouges (moyennant 1 point de pénalité)

 

SEANCE N° 3 : 29 novembre 2004

THEME DU JOUR : Travail de la prise de vitesse dans la zone d'impact
Pourquoi ? : une vitesse optimale dans la zone d'impact permettra d'une part de lever mieux la balle, mais surtout d'augmenter la longueur de la trajectoire. Quel que soit le coup à jouer, il faudra obtenir cette vitesse dans la zone d'impact.
Moyens : travail au fer 9, afin de ne pas être gêné par la distance parcourue (très courte dans l'exercice). On cherche la même amplitude à droite et à gauche, et on arme les poignets pour donner plus de vitesse pendant la descente. Le club ne doit pas "remonter" trop vite vers le final, à moins que l'élan ait été plus large (pour un coup plus long). On doit garder l'idée de la pendule (8H-4H ou 9H-3H).
Pour lever la balle encore plus haute, on rajoute les poignets et on descend plus vite, sans finir. On doit toujours rechercher à visualiser le point de chute de la balle pour ressentir le dosage du coup.
Plus la descente s'accélère, plus le geste s'agrandit et plus on se laisse aller vers le final. On est alors dans un grand coup, mais on a conservé la même sensation d'impact.
Sur les longs clubs, le point d'impact (dans le sol) se trouve plus à gauche que sur les petits clubs. L'angle du club n'étant plus suffisant pour lever la balle, c'est la vitesse à l'impact qui permet à la balle de voler. Cela nécessite donc une zone d'impact plus large. C'est le transfert du poids du corps qui permet de créer cette zone.

ECHAUFFEMENT :
- Travail de l'assouplissement, toujours avec des gestes en rapport avec le swing de golf (balanciers symétriques, genoux fléchis, bras allongés)
 
BUNKER :(voir fiche bunker)
- Mise en évidence du contact avec le sol
- Le geste est toujours grand et fort
- On envoie le sable sur le green
- Le positionnement du corps sur la jambe gauche permet le contact au sol
 
PUTTING : (voir fiche putting)
- Geste symétrique
- Aucune action de poignets (pour contrôler la face du club)
- Faire attention aux éventuelles pentes des greens

 

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