Stage Handicap du 7 mars
2003
SEANCE N° 1 : 7 mars 2003
Echauffement :
- commencer par des petits balanciers symétriques et pas trop rapides pour
mettre en place le rythme
- chercher ensuite le bon endroit d'impact en fonction de l'angle d'attaque
choisi (contact au sol sur le sw ou fer 9, zone d'impact sur les longs fers)
- augmenter l'amplitude et la vitesse du coup au fur et à mesure
- changer de club pour s'habituer aux diverses longueurs et flexibilité des
manches
Remise en place des bases :
- Complémentarité entre le côté "faible" et le côté
"fort". Le côté faible démarre
la
montée et le début de
la
descente. Le côté fort, lui, lève le club jusqu'en haut de l'élan et
frappe la balle dans
la zone
d'impact.
Remarques individuelles :
Sandrine : Il va nous falloir travailler la stabilité des jambes
pendant le balancier. Cette plus grande solidité permettra de mieux contrôler
l'élan et donc la frappe. Attention aux
coups
en pentes.
François : On continue sur le même discours que pendant nos cours
particuliers. La direction (dûe à la façon de "sortir" les bras)
est notre principal thême de travail. Il faudra aussi revoir la façon de
jouer le premier trou afin d'éviter les balles toppées au départ.
Catherine : Très bon pour une reprise. On doit pouvoir gagner un peu
de puissance pendant la zone d'impact. C'est plus un problème de répartition
d'influx que de qualité du swing.
Pierre : De bonnes bases, mais on sent le manque de connaissances
techniques. Le travail va consister à trouver ce à quoi réellement penser
pendant le geste. On va également travailler la décontraction des jambes
durant le swing afin d'éviter les éventuels futurs problèmes physiques. La
préparation des coups (coups d'essais) est importante aussi.
SEANCE N° 2 : 14 mars 2003
- Mise en évidence de la zone d'impact. Une erreur commise sur un petit swing
au ralenti va se répéter sur un grand swing à haute vitesse.
* Solidité
des poignets pendant la frappe
* Armement
des poignets dans la montée au cas où l'on veut lever la balle plus haut,
mais pas l'envoyer plus loin.
* Notions
de "swing-putter". Chaque fois que la balle se trouve à une
distance du trou qui aurait pu être celle d'un putt, le swing doit être
celui du putter. Il y aura ainsi moins de risques de rater la balle.
CONSEILS PERSONNALISES :
François : Penser à la notion du "oui-oui-oui". Dans le cas
de l'approche dite roulée, on fait "non-non-non". Si on veut lever
la balle, dans une approche dite levée, on fera "oui-non-non". Les
oignets s'arment dans la montée, mais ne se désarment pas pendant la frappe.
Catherine : Travailler la sensation de ne pas avoir à se relever pour
frapper la balle. Si on se relève sur les petits coups, on se relèvera à
coup sûr sur les longs coups. On doit donc rester en face de la balle à
l'impact.
Sandrine : Choisir la bonne position des mains (en avant ou au-dessus
de la balle). La position des mains va déterminer si on veut frapper la balle
de haut en bas ou de droite à gauche.
Pierre : Associer les genoux et les mains dans la frappe.
Eventuellement disposer les genoux déjà fléchis vers l'objectif afin de
confortabiliser la traversée de la zone de frappe.
- Mise en place de la posture. Cette posture détermine la capacité de
frapper le sable.
- Ligne de frappe. La balle se trouve plus ou moins à gauche de cette ligne
(en fonction de la quantité de sable souhaitée) ou quelquefois à droite
(pour faire un coup plus long)
- Le bunker est un long coup. Ce n'est pas approche, il convient donc de
terminer le geste pour ne pas perdre de vitesse à l'impact.
CONSEILS PERSONNALISES :
François : Chercher la ligne de frappe, ralentir la montée pour
pouvoir accélérer la frappe et finir le geste. Ne pas utiliser trop les
poignets.
Catherine : Frapper le sable sans tourner trop vite le corps. C'est le
même défaut que dans les autres coups. On perd ainsi la précision d'impact
et la force prévue.
Sandrine : Amplitude de l'élan à améliorer. L'amplitude permettra de
frapper plus vite et donc de sortir la balle plus souvent.
Pierre : Swing plus large. Le petit geste demande trop de force et
n'est donc pas contrôlable. L'amplitude est toujours nécessaire dans un
bunker.
A VOIR :
- Bois de départ
- Mise en situation sur le parcours
SEANCE N° 3 : 21 mars 2003
Echauffement :
- Recherche du rythme du balancier (élan, frappe, final)
- Impact (
l'impact est au
milieu du balancier)
- Travailler sur son défaut personnel
* élan
* endroit
d'impact (transfert de poids du corps)
* plan de
l'élan
Parcours :
- Préparation du coup : On perd plus de temps et de points à rater des
coups, qu'à les préparer. Le coup d'essai est une recherche d'amplitude de
balancier, de rythme, de dosage, du point d'impact.
-
Adaptation aux pentes :
les épaules sont parallèles à la pente, et le poids du corps accompagne
cette prise de position. On adapte la prise du club en fonction du terrain également.
- Impact au sol : l'impact est une conséquence du transfert du poids du
corps. L'épaule droite aide à l'impact en cas de balle mal placée (beaucoup
d'herbe à contacter)
- Choix du club : On détermine d'abord la trajectoire de la balle et son
point de chute avant de choisir le club.
CONSEILS PERSONNALISES :
Sandrine : recherche de symétrie. Accepter l'impact au sol (conséquence
du transfert). Contrôle des mains pendant
la
zone d'impact.
François : Surveiller la zone de frappe en assurant la symétrie du
balancier.
Catherine : Beaucoup de progrès dans le swing. Tenir les mains à
l'impact pour assurer la direction.
Pierre : Construction du geste. Le swing est le même sur tous les
clubs. Plus le club est long, plus le transfert est nécessaire. C'est
l'impact qui définit la posture.
SEANCE Nº 4 : 28 mars 2003
Echauffement :
- l'échauffement avant d'aller au parcours n'est pas le même que lors
d'une séance plus technique au practice. Là, la recherche est plus dans le
rythme du geste et la zone d'impact que dans la chorégraphie générale du
swing
- on frappe donc tous les clubs du sac, en commençant par les petits (SW, 9)
et n alternant de temps à autre des longs coups et des coups plus courts (au
besoin en rechangeant de club).
- ne pas oublier de frapper quelques approches (sinon on risque de rater les
premières approches sur le parcours)
- finir la séance d'échauffement par un ou deux coups sur tee, car c'est le
prochain coup que vous allez jouer sur le parcours (sur le départ du premier
trou)
PARCOURS :
Sandrine : de gros progrès depuis le début du stage. C'est vrai qu'il
peut y avoir des jours on l'on est plus dedans que d'autres. Les principales
critiques seraient sur l'alignement (prendre son temps pour bien placer son
corps. Le fait d'être bien placé facilitera le lancer des bras vers
l'objectif). Il faut également tenir bien la main gauche dans la zone de
frappe afin de contrôler la direction.
Catherine : nous sommes dans une bonne période de long jeu. La
confiance y est pour quelque chose. Il faut quand même surveiller le timing
qui explique que de temps en temps le geste se dérègle. Au petit jeu, bien
considérer le coup avant de jouer (pentes, état de l'herbe, longueur du
coup, etc).
Pierre : notre principale faute est dans la préparation de chaque
coup. C'est ce que l'on appelle jouer "trop vite". Ce n'est pas la
vitesse du coup qui est en cause, c'est le manque de temps consacré à sa préparation.
On doit faire des coups d'essais avant de jouer. Le coup d'essai sert à
trouver le bon point d'impact, le dosage, etc...
François : attention aux balles à gauche. Elle sont plus dues au
mauvais chemin de lancer du bras droit qu'aux mains qui se referment pendant
la frappe. Il faut laisser le bras partir en direction de l'objectif en étant
plus relâché pendant la zone de frappe.
SEANCE N° 5 : 4 avril 2003
ECHAUFFEMENT :
- Comme d'habitude, recherche du rythme et de l'impact.
PARCOURS :
- Préparer chaque coup. Il y a trois coups d'essai : un pour le contact, un
pour la symétrie et un pour le dosage. Si c'est un long coup, le dernier
est une recherche de vitesse tout en contrôlant l'impact.
- Il va falloir donner dorénavant plus d'importance au
petit
jeu. C'est le coup qui confirme le bon coup ou celui qui doit rattrapper
le mauvais. Dans les deux cas, il revêt une importance capitale.
- Relâcher les bras dans la zone d'impact afin de gagner en longueur.
CORRECTION A APPORTER LORS DE NOS COURS PARTICULIERS :
Sandrine : remise en place de la dissociation entre l'élan, la
frappe et le final. Mise en évidence de la posture de frappe en face de la
balle. Contrôle de la main gauche à l'impact.
Catherine : Notion de cercle. Le balancier se fait autour d'un axe
fixe jusqu'à la frappe. Les genoux permettent de continuer le balancier
jusqu'au final sans déplacer le corps vers l'avant.
François : Beaucoup mieux. Maintenant que nous avons réussi à
corriger les balles à gauche, on va pouvoir gagner en longueur du fait que
la balle est mieux contactée.
Pierre : On a bien assimilé la forme et le plan du balancier. Il
faut donc maintenant travailler sur l'accélération pour donner plus de
longueur à la balle.
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