- Complémentarité bras-épaules : l'emplacement du club est déterminé
par la main droite, les épaules ne doivent pas changer le plan du
balancier. L'amplitude est libre, à condition que la symétrie du geste
soit respectée. Si le follow through est grand, la montée doit être
large. Si
la montée
est courte et compacte, le follow through n'a pas à être grand.
- Symétrie du balancier : l'important dans le geste de golf est la notion
de symétrie. On balance le club de droite à gauche en retrouvant la
balle au milieu du balancier. C'est la symétrie du balancier qui compte,
pas l'amplitude.
- Accélération : l'accélération est à son maximum pendant la zone
d'impact. C'est de " 9h à 3h" que la prise de vitesse est
maximale. C'est le déploiement du bras droit (pour les droitiers) et des
poignets qui donnent cette accélération.
- Transfert du poids du corps : le transfert est une conséquence de la
notion de zone de frappe. Plus cette zone doit être large, plus le
transfert du poids du corps est important. On associe la main droite et le
genou droit dans la frappe pour créer cette zone de frappe. On insiste
beaucoup sur la sensation de "rester derrière la balle" (déjà
abordée dans notre
séance du mardi 11
janvier). Tout le problème réside dans le choix personnel du joueur
entre deux "méthodes" de transfert. La première consiste à
considérer que le transfert de poids du corps est une conséquence du
balancier de l'arrière vers l'avant. Cette méthode conviendra aux gestes
peu puissants ou bien cadencés. Elle favorisera une plus grande
régularité dans la frappe, mais moins de longueur dans la trajectoire
que la seconde méthode qui consiste à provoquer le transfert de poids du
corps au début de la descente, avant que les mains ne démarrent cette
même descente. Le démarrage précoce des genoux va favoriser la rotation
des hanches qui va permettre aux bras d'augmenter leur vitesse pendant la
zone d'impact. Ceci conviendra donc plus aux swings rapides et puissants.